Arrivée a Colombo à minuit le 21 décembre, kalu notre copain indien nous attendait avec un van taxi pour descendre à Hikkaduwa. Il nous a installés dans une maison à 10 mn de la plage praticable pour la baignade. La maison est grande, décorée très kitsh, le proprio vit au canada et un couple de petits vieux assurent la sécurité, donc on vit plus ou moins avec eux. La communication n'est pas facile on ne se comprend pas, même avec le langage des mains !
A peine arrivés, grosse bouffée d'humidité et de chaleur, en Inde l'hiver arrivait déja.
A minuit il faisait bien 28 degrés, dur le changement !
On rejoint Hikkaduwa à 4h du mat après un trajet ponctués de controles de police. Kalu a pris le volant,visiblement sans permis, et cela lui a couté un bakchich. Installation sommaire au milieu de la nuit et on s'allonge sur des lits bancales, le ventilo à fond, pour quelques heures de sommeil.
Le réveil est précoce, la chaleur est dejà suffocante dans les chambres , un petit tour sur le balcon qui entoure les chambres et Solenn tombe en pamoison devant le spectacle verdoyant d'une nature sauvage et opulente.Il est vrai que cela nous change du désert rajasthanais.
Cocotiers, bananiers, papayers, manguiers, toutes sortes d'arbres et de plantes tropicales envahissent les jardins environnants; des fleurs multicolores offrent un abri à toutes sortes d'insectes virevoltants, des chants d'oiseaux accueillent notre réveil en musique et le calme alentour nous surprend, compagnon oublié durant notre périple indien.
A peine arrivés, grosse bouffée d'humidité et de chaleur, en Inde l'hiver arrivait déja.
A minuit il faisait bien 28 degrés, dur le changement !
On rejoint Hikkaduwa à 4h du mat après un trajet ponctués de controles de police. Kalu a pris le volant,visiblement sans permis, et cela lui a couté un bakchich. Installation sommaire au milieu de la nuit et on s'allonge sur des lits bancales, le ventilo à fond, pour quelques heures de sommeil.
Le réveil est précoce, la chaleur est dejà suffocante dans les chambres , un petit tour sur le balcon qui entoure les chambres et Solenn tombe en pamoison devant le spectacle verdoyant d'une nature sauvage et opulente.Il est vrai que cela nous change du désert rajasthanais.
Cocotiers, bananiers, papayers, manguiers, toutes sortes d'arbres et de plantes tropicales envahissent les jardins environnants; des fleurs multicolores offrent un abri à toutes sortes d'insectes virevoltants, des chants d'oiseaux accueillent notre réveil en musique et le calme alentour nous surprend, compagnon oublié durant notre périple indien.