Pas si facile la manœuvre au moment ou le dromadaire se relève ! Faut se tenir bien en arrière ou on finit le nez dans le sable.
Une fois là haut le confort est sommaire et on bénit Raman de n’avoir prévu qu’1h 30 de balade. Il fait très chaud, les casquettes sont vissées sur la tète, un châle nous recouvre les épaules pour éviter les morsures du soleil. La caravane s’ébranle et nous voici partis vers des chemins sans trace dans un désert de pierres et d’arbustes piquants desséchés.
Le paysage est magnifique à perte de vue, et le soleil cuit la terre et tout ce qu’elle supporte.
La balade se fait en silence ; les dromadaires possèdent des coussinets sous les pates pour amortir les pas et pour ne pas s’enfoncer dans le sable. Seuls quelques rots sonores et malodorants viennent perturber cette quiétude.
Le soleil décline vite, nous approchons des dunes afin d’y contempler le crépuscule.
La descente est périlleuse et nous abandonnons avec un soulagement fessier et jambier nos montures.
ah la tienne val, pour le levé du coude tu n'as pas perdu les habitudes françaises ...
RépondreSupprimerA la tienne! Je voulais vite finir la bouteille pour la donner au petit boy.Il la revendra 1 roupie
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